ange-noir

C'est un ange qui a perdu sa lumière à force de pleurer...

Lundi 5 novembre 2007 à 15:19

Article de 2007



Le soleil s'en est allé.

La nuit tombe.

L'obscurité absorbe sa trace.

Son corps n'est plus.

Mais son souvenir et son amour reste.

 

 

 

               Nous serons toujours là pour qu'il vive en nous. Nous nous souviendrons de lui, mais sa présence partira avec nous. Pour te rendre hommage, il faut bien plus qu'un simple texte. Tu ne pouvais pas être immortel, mais en nous ton souvenir est éternel. Tu es bien plus qu'un simple souvenir. Tu es toujours près de nous. Tu as toujours étais là pour nous.

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

Tu t'en es allé.

La nuit tombe.

L'obscurité absorbe ta trace.

Ton corps n'est plus.

Mais ton souvenir et ton amour reste.

 

 

 

Tu as bien mérité ton repos.

Mais ne t'inquiète pas, tu n'es pas tout seul la haut.

Et nous te rejoindrons tous bientôt.

 

 

 

 

 

Jeudi 11 octobre 2007 à 19:27

Article de 2007





           Cela fait 5 mois que je nage en plein bonheur. Cela fait 5 mois que je revis. Il est vrai que j'ai du mal à exprimer de vive voix mes sentiments, c'est peut-être pour cela que je ressens le besoin de t'écrire. Je n'ai jamais su dévoiler mes sentiments par des mots. Je les ai toujours cachés car j'avais peur. Peur de quo? Je n'en sais rien.

Mais en tout cas, je connais une peur. La peur de te décevoir à cause de ce problème. Celui où je n'arrive pas à exprimer mes sentiments. Tandis que toi tu y arrive avec facilité. Je t'écoute avec envie et le désir de réussir un jour à les exhaler comme toi. J'aime écouter tes paroles. Mais par la suite, je culpabilise, car je n'arrive pas à proférer mes pensées envers toi, et j'ai peur de te perdre à cause de cela. A chaque fois que tu me demande d'essayer de dire ce que j'éprouve pour toi, j'ai mal intérieurement, car je n'y arrive pas. Mes pensées se vident à chaque fois, avant que je réalise que je n'ai rien dis. Et la, je m'imagine que tu pense que je ressens rien pour toi, et je commence à paniquer et avoir peur, car je t'aime et je ne veux pas te perdre.

            Je vais essayer d'écrire ces sentiments mais j'ai bien peur qu'il n'y a que des métaphores ou d'autres figures de style, mais cela sera ce que j'éprouve au fond de moi.

            J'écrivais souvent des textes où il était question que je me perdais sur des chemins, que je tombais d'une falaise, que je me noyais, et qu'aucune bouée n'était là pour m'aider. Et tu es arrivé. Tu es cette main qui a plongé pour me sortir la tête de l'eau pour respirer et continuer à vivre. Tu es cette bouée qui m'empêche de me noyer dans les eaux tourmentées et qui me ramène vers des eaux calment et un beau rivage. Tu es cette mai qui m'a retenu pour ne pas que je saute de cette falaise pour partir vers l'autre rive. Tu es celui qui me guide sur le chemin que j'ai emprunté. Car il est impossible de faire marche arrre et il faut aller de l'avant. Ce qui c'est passé et passé, ce qui est arrivé est arrivé, et rien ne pourra être effacé. Et grâce à toi, je pourrai surmonter les obstacles sur ce sentier et sortir plus fortes des épreuves et des problèmes que j'aurais rencontré. Car je suis sur qu'il y en aura.

            On dit souvent que la vie n'est pas un long fleuve tranquille. Et cela est vrai. Avant de te connaître, mon fleuve était tumultueux, rempli de torrent et de courant. Mais tu es une de ces rivres, calmes, belles, cristallines et pures, qui se déversent dans ma vie et qui calment ces tourments. Grâce à toi, ce fleuve commence à s'apaiser, avant de rencontrer une autre tempête où tu seras la pour chasser l'orage.

            Tu es cet oiseau mystique, fait de feu qui renait de ces cendres. Tu m'as offerts de ta magie pour que je renaisse et reprenne un nouveau départ. Mais je sais maintenant que je ne suis plus seule, et que tu seras la pour moi.

            Tu as une grande force en toi, et je t'envie de cette force, car j'ai l'impression d'être une feuille fragile qui perd de sa vie, car elle n'a pas vu assez de lumre. J'ai été trop longtemps dans l'ombre. Mais tu es ce soleil qui perce à travers ces nuées et qui redonne la source vital à cette petite feuille séchée qui revivra. Tu es cette étincelle qui a embrasé, en moi, le feu de l'amour, le feu passionnel et mon cœur.

            Tu m'as sauvé, et je ne te dirai jamais à quel point je t'aime. Et je ne vivrais jamais assez longtemps pour te remercier pour tous ce que tu m'as offerts et pour tous ce que tu m'apporte un peu plus chaque jour.

            Je t'aime comme Genvre aime Lancelot, comme Isolde aime Tristan, comme Juliette aime Roméo, comme tous ces couples légendaires et mystiques.

            Voila ce que je ressens au fond de mon être. Peut-être peut-on considérer cette lettre comme une déclaration d'amour ? Je pense que c'est le cas. Je t'aime et je veux vivre tellement de chose passionnante avec toi.

 

 

Jeudi 13 septembre 2007 à 20:11

Article de 2007





 

 

Mon amour

 

Je ne sais que trop que ton absence va me peser. Mais il faudra que je fasse avec, car tu as besoin de ce voyage. En ce moment je voudrais que le temps s'arrête pour que je reste à tes côtés le plus longtemps possible. Mais je n'ai certainement pas la main mise sur l'avenir. Ce jour fatidique arrivera. Cette séparation sera bientôt la. Et je compterais les minutes, les heures, les journées, à en devenir folle en attendant ton retour. Si seulement je pouvais accélérer cette période de souffrance lorsque j'y serais. Mais le temps passera normalement. Il sera dur comme un pâle matin d'hiver qui achève les dernières fleurs, me rongeant de l'intérieur, me faisant sombrer un peu plus. Mais ton retour sera l'arrivée des saisons chaudes, des beaux jours du printemps qui me retireront le gel de la séparation.

 

 


 

 

Je suis divisée en deux. Un côté qui désire que tu partes car il sait très bien que tu dois répondre à plusieurs questions qui te tourmente. Et l'autre côté qui ne veut pas que tu partes car il sait très bien lui aussi que je serais en manque de ta présence, et cela me fera souffrir. Je suis toujours en contradiction avec moi-même. Mais je tiendrais mon amour. Chaque jour je penserais à toi, et mes pensées convergeront vers toi pour t'embraser et te faire sentir plus fort. Tu t'envoleras tel ce phœnix que tu vénères tant et moi je voguerais à ta rencontre pour que nous nous retrouvions dans nos rêves.

 

 

 

Je ne conçois plus une journée sans toi. Tu es mon "eldorado". Ce jeu de mot, compris que par nous, te fera certainement sourire, et c'est ce que je veux. Je veux te voir sourire, pour que cette douce expression reste gravée au fond de moi pour me sentir vivre.

 

 

 

Ne t'inquiètes pas mon amour, je tiendrais.

Dimanche 2 septembre 2007 à 20:30

              Article de 2007






              Lorsque nous étions petit(e)s, dans les environs de 4 à 8 ans, on adorait plus que tout les contes et les histoires qui commençaient par la symboliques phrases "Il était une fois..."  ( "on","nous" pronoms impersonnels qui qualifient celui qui l'emploie...
)

              Maintenant que nous avons grandis, nous avons changé de mentalité, de peau, et tout le restes (bref on change tous). Et cette symbolique phrase se transforme peu à peu en dégout, déception, en deux mot "à chier" (cela est mon point de vue, je respecte ceux qui reste dans l'émerveillement des contes, bah oui faut bien rêver non!! Ca m'arrive aussi...).


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

               Un exemple burlesque et classique :

 

Il était une fois une belle est gentille princesse qui était enfermé dans la plus haute salle de la plus haute tour et qui attendait son beau et valeureux prince charmant. Sa seul compagnie était un dragon féroce qui protégeait le château pour empêcher le doux prince de libérer sa belle. Le prince est plus rusé qu'il n'en a l'air! Il se transforma en doux et magnifique petit lapin blanc pour atteindre la prison de sa belle. Il grimpa dans la plus haute salle de la plus haute tour, et reprit forme humaine, délivra la princesse et tua d'un seul coup d'épée le dragon qui faisait au moins 26 fois sa taille et qui crachait des torrents de feu. Il se maria avec la princesse et eurent plein de beaux enfants.



 

 

 

 

 

 

 

 

 

                Mouai...... bof........ C'est un peu prendre les gamins pour des cons. Mais bon, cela développe l'imagination et les rêves enfantins. Les garçons se prennent pour les princes et les filles les princesses. (Quoi que des fois les garçons préfèrent être le dragon et tuer la princesse^^)



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                Je préfère me raconter l'histoire sous cette forme :

 

Par un jour comme les autres, la princesse, au désespoir de ne point voir son futur époux, perdit tout espoir d'être libre un jour, et sympatisa avec le dragon. Elle commença par s'effondrer sous des sanglots, à hurler sa haine envers ses parents qui l'avaient foutu la pour ne point qu'elle fricote avec les notables du royaume. Peu à petit elle se transforma... Ses beaux cheveux blonds comme le blé devinrent noir comme les abîmes, ses yeux d'un bleu ciel devinrent d'un bleu royal, elle arachait ses belles robes roses bonbons pour enfiler des robes en dentelles noires et des velours bordeaux. Cependant, par un jour d'orage, elle vit un magnifique lapin blanc sur le seuil de sa porte. Le princesse furieuse de voir quelques chose de pur, alla prendre un couteau pour embrocher le bête. Mais contre toute attente, le lapin se mit debout et arracha son pelage blanc pour laisser place à une fourrure noir ébène. La princesse heureuse de la transformation, prit le lapin dans ses bras et l'embrassa. Celui-ci se transforma en un beau jeune homme grand et musclé avec des cheveux long et noir. Ce n'était pas le prince que ses parents désirez pour elle, mais c'était le prince de ses rêves. Le dragon les laissa partir et les emmena dans le domaines du prince. Ils vécurent dans le manoir hanté de prince et et vivèrent heureux.... Mais un beau jour, le vrai prince se présenta au château et le dragon de fit une joie de le bouffer bien griller, et oui sous une armure de fer. Cela faisait comme si il était dans une casserol!


 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

Ouai bah c'est peut-être pas mieux vu comment je conçois les choses. Mais je m'en fou, je m'éclate.

Lundi 20 août 2007 à 22:17

Article de 2007



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Mes larmes se sont presque tarie.

Je le dois à toi mon amour.

Comment nommer cette force qui déferle en moi et qui m'anime??

Cette force vient certainement de mon coeur que tu contribues à faire battre rien qu'en  une pensée de toi.

Pas tellement douée pour exprimer mes sentiments, je te dirais juste cela :

 

 

Je t'aime

 

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