ange-noir

C'est un ange qui a perdu sa lumière à force de pleurer...

Jeudi 13 septembre 2007 à 20:11

Article de 2007





 

 

Mon amour

 

Je ne sais que trop que ton absence va me peser. Mais il faudra que je fasse avec, car tu as besoin de ce voyage. En ce moment je voudrais que le temps s'arrête pour que je reste à tes côtés le plus longtemps possible. Mais je n'ai certainement pas la main mise sur l'avenir. Ce jour fatidique arrivera. Cette séparation sera bientôt la. Et je compterais les minutes, les heures, les journées, à en devenir folle en attendant ton retour. Si seulement je pouvais accélérer cette période de souffrance lorsque j'y serais. Mais le temps passera normalement. Il sera dur comme un pâle matin d'hiver qui achève les dernières fleurs, me rongeant de l'intérieur, me faisant sombrer un peu plus. Mais ton retour sera l'arrivée des saisons chaudes, des beaux jours du printemps qui me retireront le gel de la séparation.

 

 


 

 

Je suis divisée en deux. Un côté qui désire que tu partes car il sait très bien que tu dois répondre à plusieurs questions qui te tourmente. Et l'autre côté qui ne veut pas que tu partes car il sait très bien lui aussi que je serais en manque de ta présence, et cela me fera souffrir. Je suis toujours en contradiction avec moi-même. Mais je tiendrais mon amour. Chaque jour je penserais à toi, et mes pensées convergeront vers toi pour t'embraser et te faire sentir plus fort. Tu t'envoleras tel ce phœnix que tu vénères tant et moi je voguerais à ta rencontre pour que nous nous retrouvions dans nos rêves.

 

 

 

Je ne conçois plus une journée sans toi. Tu es mon "eldorado". Ce jeu de mot, compris que par nous, te fera certainement sourire, et c'est ce que je veux. Je veux te voir sourire, pour que cette douce expression reste gravée au fond de moi pour me sentir vivre.

 

 

 

Ne t'inquiètes pas mon amour, je tiendrais.

Dimanche 2 septembre 2007 à 20:30

              Article de 2007






              Lorsque nous étions petit(e)s, dans les environs de 4 à 8 ans, on adorait plus que tout les contes et les histoires qui commençaient par la symboliques phrases "Il était une fois..."  ( "on","nous" pronoms impersonnels qui qualifient celui qui l'emploie...
)

              Maintenant que nous avons grandis, nous avons changé de mentalité, de peau, et tout le restes (bref on change tous). Et cette symbolique phrase se transforme peu à peu en dégout, déception, en deux mot "à chier" (cela est mon point de vue, je respecte ceux qui reste dans l'émerveillement des contes, bah oui faut bien rêver non!! Ca m'arrive aussi...).


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

               Un exemple burlesque et classique :

 

Il était une fois une belle est gentille princesse qui était enfermé dans la plus haute salle de la plus haute tour et qui attendait son beau et valeureux prince charmant. Sa seul compagnie était un dragon féroce qui protégeait le château pour empêcher le doux prince de libérer sa belle. Le prince est plus rusé qu'il n'en a l'air! Il se transforma en doux et magnifique petit lapin blanc pour atteindre la prison de sa belle. Il grimpa dans la plus haute salle de la plus haute tour, et reprit forme humaine, délivra la princesse et tua d'un seul coup d'épée le dragon qui faisait au moins 26 fois sa taille et qui crachait des torrents de feu. Il se maria avec la princesse et eurent plein de beaux enfants.



 

 

 

 

 

 

 

 

 

                Mouai...... bof........ C'est un peu prendre les gamins pour des cons. Mais bon, cela développe l'imagination et les rêves enfantins. Les garçons se prennent pour les princes et les filles les princesses. (Quoi que des fois les garçons préfèrent être le dragon et tuer la princesse^^)



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                Je préfère me raconter l'histoire sous cette forme :

 

Par un jour comme les autres, la princesse, au désespoir de ne point voir son futur époux, perdit tout espoir d'être libre un jour, et sympatisa avec le dragon. Elle commença par s'effondrer sous des sanglots, à hurler sa haine envers ses parents qui l'avaient foutu la pour ne point qu'elle fricote avec les notables du royaume. Peu à petit elle se transforma... Ses beaux cheveux blonds comme le blé devinrent noir comme les abîmes, ses yeux d'un bleu ciel devinrent d'un bleu royal, elle arachait ses belles robes roses bonbons pour enfiler des robes en dentelles noires et des velours bordeaux. Cependant, par un jour d'orage, elle vit un magnifique lapin blanc sur le seuil de sa porte. Le princesse furieuse de voir quelques chose de pur, alla prendre un couteau pour embrocher le bête. Mais contre toute attente, le lapin se mit debout et arracha son pelage blanc pour laisser place à une fourrure noir ébène. La princesse heureuse de la transformation, prit le lapin dans ses bras et l'embrassa. Celui-ci se transforma en un beau jeune homme grand et musclé avec des cheveux long et noir. Ce n'était pas le prince que ses parents désirez pour elle, mais c'était le prince de ses rêves. Le dragon les laissa partir et les emmena dans le domaines du prince. Ils vécurent dans le manoir hanté de prince et et vivèrent heureux.... Mais un beau jour, le vrai prince se présenta au château et le dragon de fit une joie de le bouffer bien griller, et oui sous une armure de fer. Cela faisait comme si il était dans une casserol!


 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

Ouai bah c'est peut-être pas mieux vu comment je conçois les choses. Mais je m'en fou, je m'éclate.

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